Mon petit cucul vient à peine de fêter ses 2 ans, et le voilà qui en prend pour 20 ans incompressibles sans avoir fait la moindre bétise (quoique...). N'empêche que je suis héroique, je n'ai pas encore pleuré.
Je suis donc allée à l'école, drapée de mon air "super-bourgeoise-bien-au-dessus-du-lot", histoire de ne pas avoir à frayer avec les gens ( je ne vous ai pas encore dit que je suis misanthrope ?). Ce n'est donc pas encore cette année que je vais intégrer le cercle mafieux des mamans d'élèves...
Ce n'est pourtant pas faute d'avoir essayer au début de la scolarité du grand, mais SuperMari et moi avons jeté l'éponge au bout de 2 réunions : rester assis comme une cruche sur une chaise dure (bobo les fesses) sans que personne ne vous adresse la parole, vu qu'ils se connaissent tous et qu'ils se fichent des nouveaux, ça donne pas forcément envie d'être plus sociable.
En plus, les activités organisées pour mettre en place les marchés de Noël ou Pâques, etc..., sont forcément programmées en semaine de 13h30 à 16h30, et comme je suis une vilaine qui préfère abandonner ses enfants pour permettre à des actionnaires de s'offrir des croisières, difficile d'y participer ! (ouuuuuuuuuuh, la vilaine !!)
Bon, c'est pas tout ça, mais là, faut que je passe en mode "super-maman-d'un-gamin-précoce" pour aller affronter le grand méchant directeur de la nouvelle école de Fils 1er... (m'en fous, c'est un copain, même pas peur !)